Beaucoup de gens s’imaginent que Jésus Christ s’attend à ce que nous devenions religieux. Ils pensent que Jésus est venu pour supprimer tout plaisir de la vie, et pour nous imposer des règles impossibles à suivre.

Ils veulent bien l’appeler ” grand homme ” du passé, mais ils prétendent qu’il n’est pas pertinent à leur vie d’aujourd’hui.

Christ a répondu à toutes les questions fondamentales sur notre existence. A un moment ou à un autre, nous nous questionnons tous sur la signification de la vie. 

Ne vous est-il pas arrivé de contempler les étoiles lors d’une nuit particulièrement sombre, et de vous demander qui les avait placées là-haut ? Ou bien, avez-vous déjà regardé un coucher de soleil en vous posant les plus grandes questions de la vie :

•  Qui suis-je ?

•  Pourquoi suis-je ici ?

•  Que va-t-il m’arriver quand je mourrai ?

Et, bien que d’autres philosophes et chefs religieux aient proposé leurs propres réponses sur la signification de la vie, seul Jésus Christ a prouvé ses revendications en se relevant d’entre les morts.

Les sceptiques qui ont d’abord ri de la résurrection de Jésus, ont découvert qu’il existe des preuves convaincantes qu’elle a véritablement eu lieu.

Jésus donne un véritable sens à la vie. Il dit que la vie, c’est bien davantage que de gagner de l’argent, s’amuser, avoir du succès, puis finir au cimetière. Et malgré tout, beaucoup de gens essaient quand même de découvrir un sens à leur vie dans la célébrité et le succès, même parmi les plus grandes superstars…

Madonna s’efforça d’apporter une réponse à la question : ” Pourquoi est-ce que j’existe? ” en devenant une diva et elle confie :

“Pendant bien des années, j’ai pensé que la célébrité, la fortune et l’adulation du public m’apporteraient le bonheur. Mais un jour, vous vous réveillez et vous réalisez que ce n’est pas cela… Je sens qu’il y a toujours quelque chose qui manque… Je voulais savoir ce que c’est que le vrai bonheur qui dure, et comment je pouvais l’atteindre.”

D’autres ont abandonné la recherche du bonheur. Kurt COBAIN, le chanteur principal de Nirvana, le groupe grunge de Seattle, a désespéré de la vie à l’âge de 27 ans et a commis le suicide.

Pascal, le grand philosophe français, était convaincu que ce vide intérieur que nous ressentons ne pouvait être comblé que par Dieu. Il écrivit :

Il y a, dans le cœur de l’homme, un vide à la grandeur de Dieu que rien ni personne à part Dieu ne saurait combler.”

Si Pascal avait raison, alors nous nous attendrions à ce que, non seulement, Jésus réponde à la question sur notre identité et le but de cette vie, mais aussi qu’il nous donne l’espoir de la vie après la mort.

Mais si Jésus a réellement vaincu la mort, comme ses témoins oculaires le prétendent, alors lui-seul serait à même de nous dire quelle est le sens de la vie, et de répondre à la question ” Où est-ce que je vais ? ”

Pour comprendre comment les paroles, la vie et la mort de Jésus peuvent déterminer notre identité, donner du sens à notre vie, et procurer de l’espoir pour l’avenir, nous devons comprendre ce qu’il a dit à propos de Dieu, de nous, et de lui-même.

Que dit Jésus au sujet de Dieu?

Dieu est relationnel.

Beaucoup de gens voient Dieu comme une force plutôt qu’une personne que nous pouvons connaître et apprécier.

Le Dieu dont Jésus parle n’est pas comme la force impersonnelle de La Guerre des Étoiles, dont la bonté peut se mesurer en tension électrique. Il n’est pas non plus une espèce de croque-mitaine dans le ciel prenant plaisir à rendre notre vie misérable.

Au contraire, Dieu est relationnel, tout comme nous et même bien plus. Il pense, Il entend. Il communique dans une langue que nous pouvons comprendre.

Jésus nous a dit et nous a montré à quoi Dieu ressemble. D’après Jésus, Dieu connaît chacun d’entre nous d’une manière intime et personnelle, et Il pense à nous continuellement.

Dieu est amour.

Et Jésus nous a dit que Dieu est amour. Jésus a démontré l’amour de Dieu partout où il est allé, en guérissant les malades et en aidant les malheureux et les pauvres.

L’amour de Dieu est radicalement différent du nôtre dans le fait qu’il ne varie pas selon l’attrait ou la performance. Il est totalement sacrificiel et dénué d’égoïsme.

Jésus a comparé l’amour de Dieu à l’amour d’un père parfait. Un bon père veut ce qu’il y a de mieux pour ses enfants ; il se sacrifie pour eux et il pourvoit pour eux. Mais aussi, pour leur bien, il les éduque.

Jésus illustre l’amour de Dieu avec l’histoire d’un fils rebelle qui avait rejeté les conseils de son père sur la vie et sur ce qui comptait.

Arrogant et rempli de sa propre volonté, le fils voulait cesser de travailler et vivre ” la grande vie “. Plutôt que d’attendre jusqu’à ce que son père soit disposé à lui remettre sa part d’héritage, il commença à insister pour que son père la lui donne prématurément.

Dans l’histoire de Jésus, le père accède au désir de son fils. Mais les choses tournent mal pour lui. Après avoir gaspillé son argent sur des plaisirs personnels, le fils rebelle doit se mettre au travail dans un élevage de porcs.

Bientôt, il devient si affamé que même la nourriture des cochons lui paraît bonne. Découragé et incertain que son père le reçoive, il fait son baluchon et prend quand même le chemin du retour chez son père.

Jésus nous dit que non seulement son père l’accueille chez lui, mais en fait, il court à son devant pour l’embrasser. Et il est si heureux de le retrouver qu’il prépare un banquet extravagant pour fêter son retour.

Il est intéressant de noter que, bien que le père aime tellement son fils, il ne court pas après lui. Il laisse le fils qu’il aime faire l’expérience de la peine et souffrir les conséquences de son choix rebelle.

Rappelez-vous de ce fils qui, dans un train était assis à côté d'un homme – pasteur de son état, qui, le voyant affreusement anxieux, lui en demanda la cause.

Après m'être enfui de chez moi pendant de longues années, je reviens au pays, j'ai écrit à mes parents leur disant que s'ils acceptaient de me pardonner, le train passant au fonds de leur jardin, ils mettent un mouchoir blanc accroché aux fils de l'étendoir à linge et nous sommes presque arrivés à cet endroit et je n'ose regarder tant mon anxiété est grande”

“Je vais regarder pour vous” lui répondit le pasteur. Arrivé sur les lieux, ce dernier s'écria “ il n'y a pas de mouchoir blanc mais...votre jardin est rempli de draps blanc qui flottent au vent”

De la même manière, l’Écriture nous enseigne que l’amour de Dieu ne fait jamais de compromis sur ce qui est bon pour nous. Son amour permet que nous fassions l’expérience de la souffrance, en conséquence de nos propres mauvais choix.

Jésus a aussi enseigné que Dieu ne fait jamais de compromis sur l’intégrité de son caractère.

Le caractère, c’est qui nous sommes tout au fond de nous-mêmes. C’est notre essence et la source dont procède toutes nos pensées et actions. Alors, à quoi Dieu ressemble-t-il—au plus profond de lui-même ?

Dieu est saint.

A travers l’Écriture (environ 600 fois), Dieu est qualifié de ” Saint “ mot qui signifie que le caractère de Dieu est moralement pur et absolument parfait. Sans aucun défaut.

Cela signifie qu’Il n’a jamais eu une pensée impure ou incohérente par rapport à son excellence morale.

Par ailleurs, la sainteté de Dieu signifie qu’Il ne peut pas se trouver en présence du mal. Puisque le mal est l’opposé de sa nature, Il le hait. C’est pour lui comme de la pollution.

Mais si Dieu est Saint et qu’Il déteste le mal, alors pourquoi ne nous a-t-Il pas créés avec le même caractère ? Pourquoi y a-t-il des pédophiles, des meurtriers, des violeurs et des pervers ?

Et pourquoi sommes-nous sans cesse en conflit avec nos propres choix moraux ?

Qu'est-ce que Jésus a dit à notre sujet ?

Créés pour une relation avec Dieu.

Le Nouveau Testament nous affirme que Jésus parle sans cesse de notre immense valeur aux yeux de Dieu et nous dit que Dieu nous a créés pour être ses enfants.

Avant la création de l’univers, Dieu avait déjà planifié de nous adopter dans sa famille.

Non seulement cela, mais Il a prévu pour nous un héritage extraordinaire qui nous appartient si nous le souhaitons.

Comme le père l’avait à cœur, dans le récit raconté par Jésus, Dieu veut nous faire cadeau d’un héritage de bénédictions inimaginables et de privilèges royaux. A ses yeux, nous avons une valeur très particulière.

La liberté du choix.

Dans le film Et l’homme créa la femme, des hommes faibles, menteurs, avides de gain et meurtriers ont inventé des robots soumis et obéissants pour remplacer leurs femmes libérées qu’ils considéraient comme des menaces.  

Bien que ces hommes aiment supposément leurs femmes, ils les remplacent par des jouets afin de les forcer à obéir.

Dieu pourrait nous avoir faits selon ce modèle, des personnes robotiques, câblées pour l’aimer et lui obéir, avec une adoration programmée comme un écran de veille.

Mais alors, notre amour forcé n’aurait pas de sens. Dieu voulait que nous l’aimions par choix. Dans une vraie relation, nous voulons que quelqu’un nous aime pour qui nous sommes, non pas par obligation – nous préférons une âme sœur plutôt qu’une mariée commandée sur catalogue.

Mais pour rendre l’amour partagé possible, Dieu créa les êtres humains avec une capacité spéciale : la libre volonté.

La rébellion contre les lois morales de Dieu.

Bien que nous soyons programmés intérieurement avec le désir de connaître Dieu, nous nous révoltons contre cela dès notre naissance.

Si nous cherchons à en comprendre les raisons, cela nous emmène à découvrir que nous connaissons instinctivement la différence entre le bien et le mal.

Alors, d’où vient ce sens du bien et du mal ?

Nous faisons tous l’expérience de ce sens du bien et du mal quand nous lisons qu’Hitler a fait assassiner six millions de Juifs, ou qu’un héros a sacrifié sa vie pour quelqu’un d’autre.

Nous savons instinctivement que c’est mal de mentir et de tricher. Cette compréhension que nous sommes programmés avec une loi morale à l’intérieur de nous nous emmène à en déduire qu’il devrait exister un  “Législateur”  moral.

En fait, selon Jésus et l’Écriture, Dieu nous a donné une loi morale à suivre. Et non seulement nous nous sommes détournés de la relation avec lui, mais nous avons également violé les lois morales établies par Dieu. La plupart d’entre nous connaissent certains des Dix Commandements :

Tu ne mentiras pas, tu ne voleras pas, tu ne tueras pas, tu ne commettras pas l’adultère,  etc.

Jésus les a résumés en disant que nous devrions aimer Dieu de tout notre cœur et notre voisin comme nous-mêmes. Par conséquent, le péché n’est pas la seule faute que nous commettons lorsque nous violons la loi, nous omettons aussi de faire ce qui est bien.

Dieu a créé l’univers avec des lois gouvernant tout ce qu’il contient. Elles sont inviolables et inchangeables.

Depuis le tout premier homme et la toute première femme, nous avons désobéi aux lois de Dieu, bien qu’elles soient pour notre bien. Et nous avons omis de faire le bien.

Nous avons hérité cet état du premier homme, Adam. La Bible appelle cela la désobéissance, le péché, ce qui signifie “rater la cible”, comme un archer qui manquerait la cible visée.

Ainsi, nos péchés ont brisé la relation avec nous que Dieu avait prévue. Pour continuer avec l’exemple de l’archer, nous avons raté la cible de l’objet pour lequel nous avons été créés.

Le péché provoque la séparation dans toutes les relations : la race humaine s’est séparée de son environnement (aliénation), les gens se sont séparés d’eux-mêmes (culpabilité et honte), les gens se sont séparés des autres (guerre, meurtre), et les gens se sont séparés de Dieu (mort spirituelle).

Comme les maillons d’une chaîne, lorsque le premier maillon a cassé entre Dieu et l’humanité, tous les autres maillons se sont désassemblés.

Et selon la Bible cette séparation a des conséquences fatales.

Notre péché nous a séparés de l’amour de Dieu.

Notre rébellion (péché) a érigé un mur de séparation entre Dieu et nous.

Dans l’Écriture,  la séparation  signifie la mort. Et la mort spirituelle signifie que nous sommes totalement séparés de la lumière et de la vie de Dieu.

Mais Dieu ne savait-il pas tout cela avant de nous créer ?

Comment n’a-t-il pas vu que son plan était voué à l’échec ?  Bien sûr, un Dieu omniscient aurait réalisé que nous allions nous révolter et pécher. En fait, c’est notre échec qui rend son plan si extraordinaire et ahurissant !

Ceci nous amène à la raison pour laquelle Dieu est venu sur terre sous forme humaine. Et, encore plus incroyable—la raison extraordinaire de sa mort.

Qu'est-ce que Jésus a dit sur lui-même ?

La solution parfaite de Dieu.

Pendant ses trois ans de ministère public, Jésus nous a enseigné comment vivre et a accompli de nombreux miracles, y compris ressusciter des morts. Mais il a déclaré que sa première mission était de nous sauver de nos péchés.

Jésus a proclamé être le Messie promis qui se chargerait de toute notre iniquité. Le prophète Ésaïe écrivit 700 ans plus tôt sur le Messie, nous donnant plusieurs indications de son identité. Mais l’élément le plus difficile à saisir, c’est que le Messie devait être à la fois homme et Dieu !

“Car un enfant nous est né, un fils nous est donné. On l’appellera Admirable, Conseiller, Dieu puissant, Père éternel, Prince de la paix.” (Ésaïe 9 - 6)

Les prophètes anciens ont prédit que le Messie deviendrait l’offrande parfaite de Dieu pour le péché, afin de satisfaire sa justice. Cet homme parfait serait qualifié pour mourir à notre place. (Ésaïe. 53 - 6)

Selon les auteurs du Nouveau Testament, la qualification de Jésus pour mourir à notre place, c’était qu’il avait vécu une vie moralement parfaite et qu’il n’était donc pas exposé au jugement du péché.

C’est une chose difficile que de comprendre comment la mort de Jésus a payé la dette de nos péchés. Peut-être une analogie judiciaire pourrait-elle clarifier comment Jésus a résolu le dilemme de la justice et de l’amour parfaits de Dieu.

Supposez que vous entriez dans une salle de tribunal, coupable de meurtre. En vous approchant du juge, vous réalisez qu’il s’agit de votre père. Sachant qu’il vous aime, vous commencez immédiatement à l’implorer: “Papa, libère-moi ! ”

Ce à quoi il répond : “Je t’aime, mon fils, mais je suis juge. Je ne peux pas simplement te libérer.”

Il est déchiré. À la fin, il frappe du marteau et vous déclare coupable.

La justice ne doit pas être corrompue, au moins pas par un juge. Mais, parce qu’il vous aime, il se lève de son siège, ôte sa toge et offre de subir la peine à votre place. Et, en fait, il prend votre place.

C’est l’image peinte par le Nouveau Testament. Dieu est descendu pour s’insérer dans l’histoire de l’humanité, en la personne de Jésus Christ, et il est allé à la croix à notre place, pour nous.

Jésus n’est pas un tiers bouc émissaire qui se charge de nos péchés, mais en fait, il est Dieu-même. En quelques mots, Dieu avait deux choix : juger le péché en nous ou en subir lui-même la punition. En Christ, Il fit ce dernier choix.

Jésus a dit très clairement qu’il était lui seul capable de nous amener à Dieu : Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. (Jean 14 - 6)

Cependant beaucoup de gens prétendent que la revendication de Jésus, comme étant le seul chemin vers Dieu, est trop étroite et qu’il y a beaucoup d’autres chemins menant à Dieu.

Ceux qui croient que toutes les religions sont la même chose nient le problème du péché. Ils refusent de prendre au sérieux les paroles de Christ. Ils disent que l’amour de Dieu nous recevra tous, peu importe ce que nous avons fait.

Les gens pensent généralement que n’ayant pas tué et n’ayant pas volé, ils iront au paradis. D’ailleurs Michel POLNAREFF ne chantait-il pas « Nous irons tous au paradis » ?

Par contre, fort logiquement, ils en déduisent qu’HITLER mérite d’être jugé.

Cela revient à dire que Dieu note selon une courbe, et tous ceux qui obtiennent un D ou mieux entreront. Mais ceci pose un dilemme.

Comme nous l’avons vu, le péché est l’opposé absolu du caractère saint de Dieu. Ainsi, nous avons offensé celui qui nous a créés, et qui nous a tant aimés qu’il a sacrifié son propre Fils pour nous.

Ni les bonnes œuvres, ni la méditation, ni le carma ne peuvent payer la dette accumulée par nos péchés.

Seul Jésus peut satisfaire cette dette.

Un cadeau non mérité

Le terme biblique décrivant le pardon gratuit de Dieu à travers la mort de Jésus est la grâce. Tandis que la miséricorde nous sauve de ce que nous méritons, la grâce de Dieu nous donne ce que nous n’avons pas mérité.

Voyons comment Christ a accompli pour nous ce que nous ne pouvions pas accomplir pour nous-mêmes :

•       Dieu nous aime et nous a créés pour avoir une relation avec Lui.

•       La liberté nous a été donnée d’accepter ou de rejeter cette relation.

•       Notre péché et notre rébellion contre Dieu et ses lois ont érigé un mur

de séparation entre Lui et nous.

•       Bien que nous méritions le jugement éternel, Dieu a payé la totalité de

notre dette par la mort de Jésus à notre place, rendant possible la vie

éternelle avec Lui.

Maintenant, nous avons une image du plan de Dieu s’accomplissant à travers les siècles.

Mais il manque encore un ingrédient. Selon Jésus et les auteurs du Nouveau Testament, chacun d’entre nous doit répondre individuellement au don gratuit que Jésus nous offre. Il ne nous force pas à le prendre.

Vous choisissez la fin.

Nous faisons continuellement des choix—ce que nous portons, ce que nous mangeons, notre carrière, mariage, partenaire, etc. C’est la même chose dans notre relation avec Dieu.

Le message de Jésus révèle que chaque personne vient à connaître Dieu, non pas en vertu de sa naissance, mais par un choix conscient de l’autoriser à régner dans sa vie personnelle.

Nos choix sont souvent influencés par les autres. Mais dans certains cas, nous recevons de mauvais conseils.

Le 11 septembre 2001, six cents personnes ont fait confiance à un mauvais conseil, ce qui s’est révélé fatal.

Un homme, qui se trouvait au 92ème étage de la tour Sud du World Trade Center, venait d’entendre qu’un avion s’était écrasé sur la tour Nord.

Stupéfait de l’explosion, il appela la police pour savoir ce qu’il devait faire.  “Nous avons besoin de savoir si nous devons évacuer parce que nous savons qu’il y a eu une explosion “, dit-il avec urgence au téléphone.

La voix à l’autre bout de la communication lui conseilla de ne pas évacuer et d’attendre d’autres informations. 

Sur cette info qu’il jugea sérieuse il ne fit pas évacuer la tour Sud.

Peu après 9 heures du matin, un autre avion s’écrasa au 80ème étage de la tour Sud. Près de 600 personnes, situées dans les étages supérieurs de la tour Sud, périrent. L’erreur de ne pas avoir fait évacuer le bâtiment fut l’une des grandes tragédies de ce jour-là.

Ces 600 personnes périrent parce qu’elles placèrent leur confiance dans des informations erronées, bien qu’elles fussent communiquées par une personne qui s’efforçait de les aider. La tragédie n’aurait pas eu lieu si les 600 victimes avaient reçu des informations correctes.

Notre choix conscient vis-à-vis de Jésus met en jeu notre éternité.

Nous pouvons choisir l’une des trois réponses suivantes :

Nous pouvons l’ignorer. Nous pouvons le rejeter. Ou, nous pouvons l’accepter.

La raison pour laquelle beaucoup de gens vivent leur vie en ignorant Dieu, c’est qu’ils sont trop préoccupés par leurs propres affaires.

C’est facile de se laisser emporter par le courant rapide de la vie et de n’avoir que peu ou pas de temps pour Dieu. Toutefois, choisir d’ignorer l’offre du pardon de Dieu est équivalent à un rejet volontaire, avec les terribles conséquences qui en découlent : notre dette restera toujours impayée.

En ce qui concerne le rejet du pardon complet de Christ, les gens donnent toutes sortes d’excuses. Beaucoup disent qu’il n’y a pas assez de preuves, mais si sont-ils réellement intéressés ? Ont-ils vraiment cherché ?

D’autres refusent de regarder au-delà des quelques Chrétiens hypocrites qu’ils connaissent, indiquant comme excuse leur comportement sans amour et sans cohérence. Et encore d’autres rejettent Christ parce qu’ils blâment Dieu pour quelque expérience triste ou tragique dont ils ont souffert.

En fait beaucoup de personnes rejettent Dieu, non pas sur la base d’exigences intellectuelles, ni en raison de la rareté de la preuve. Un homme rejette Dieu en raison de sa résistance morale qui refuse d’admettre son besoin de Dieu.

Quand nous entretenons une relation personnelle avec Jésus Christ, il comble notre vide intérieur, nous remplit de sa paix, et satisfait notre besoin d’avoir une raison de vivre et un espoir.

Et nous n’avons plus besoin de recourir à des engouements temporaires pour notre épanouissement. Quand Il vient à l’intérieur de nous, il satisfait aussi nos désirs et nos besoins les plus profonds d’un amour et d’une sécurité vrais et durables.

Et la chose la plus incroyable, c’est que Dieu lui-même est venu sous la forme d’un homme pour payer toute notre dette. Par conséquent, nous ne sommes plus exposés à la rétribution de nos péchés. Paul expose clairement cela aux Colossiens à qui il écrit :

“Vous, qui étiez autrefois étrangers et ennemis par vos pensées et par vos mauvaises œuvres, il vous a maintenant réconciliés par sa mort dans le corps de sa chair, pour vous faire paraître devant lui saints, irrépréhensibles et sans reproche.” (Colossiens 1 -21 et 22 ).

Ainsi, Dieu a fait pour nous ce que nous étions incapables d’accomplir pour nous-mêmes. Nous sommes délivrés de nos péchés par la mort de Jésus.

C’est comme un coupable qui apparaîtrait devant le juge et recevrait un pardon absolu. Il ne mérite pas le pardon, et nous ne le méritons pas non plus.

La vie éternelle nous est offerte comme un cadeau de Dieu, absolument gratuit—et pour tous ceux qui veulent bien l’accepter. Car bien que le pardon nous soit offert, c’est à notre choix de l’accepter ou non. Ce choix nous appartient.

Dieu peut remplir le vide qui est en vous et vous changer en un instant. Il vous a créé pour que votre vie soit remplie de signification et de motivation. Jésus dit: “Je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu’elles soient dans l’abondance.” (Jean 10 - 10)

Ou peut-être que tout va bien dans votre vie, et pourtant vous sentez un manque, une incertitude et n’arrivez pas à trouver la paix.

Vous réalisez que vous n’avez pas toujours été « clean » aux yeux de Dieu et que vous êtes séparé de son amour et de son pardon. Vous redoutez le jugement de Dieu.

Jésus dit : “Je vous laisse la paix, je vous donne ma paix. Je ne vous donne pas comme le monde donne.”  (Jean 14, 27 )

Donc, que vous soyez simplement lassé d’une vie de vaines poursuites, ou que vous soyez inquiets à cause de l’absence de paix avec votre Créateur, la réponse se trouve en Jésus Christ.

Quand vous placez votre confiance en Jésus Christ, Dieu vous pardonne tous vos péchés passés, présents et futurs, et il fait de vous son enfant. Et lorsque vous êtes son enfant bien-aimé, il vous donne une raison de vivre et un sens sur terre, ainsi que la promesse de la vie éternelle avec lui.

La parole de Dieu déclare :  A tous ceux qui l’ont reçue, à ceux qui croient son nom, [il] a donné le pouvoir de devenir enfants de Dieu.  (Jean 1 - 12)

Le pardon des péchés, une raison de vivre, et la vie éternelle vous appartiennent sur simple demande. Vous pouvez inviter Christ dans votre vie dès à présent, dans la foi et par la prière.

La prière, c’est parler avec Dieu. Dieu connaît votre cœur et il ne se préoccupe pas autant de la qualité de vos mots que de l’attitude de votre cœur.

Quand vous vous engagez avec Jésus Christ, il vient dans votre vie ; il devient votre guide, votre conseiller, votre consolateur, et votre meilleur ami. Par ailleurs, il vous donne la force de surmonter les épreuves et la tentation ; il vous délivre afin que vous puissiez vivre une vie nouvelle, remplie de sens, de motivation, et de puissance.